Communiqué de presse


DISponible en juin 2024

Thème

À l’aube du 3e millénaire, deux praticiens de l’actuel monde hospitalier ont porté leurs pensées sur son histoire en s’approchant le plus possible de son origine. Après les difficiles périodes d’itinérance, les humains se stabilisèrent dans leurs territoires pour y vivre et… se combattre. Cela nécessitera la création d’armées avec des soldats blessés à maintenir en état de se battre.
Lors du 3e millénaire av. J.-C., l’invention de l’écriture cunéiforme à l’époque du souverain de Babylone Hammourabi (en Mésopotamie), fût établi un texte contenant les lois régissant dans une attribution divine la vie socio-économique dont les questions relatives à la santé sont groupées sous le nom de « Code d’Hammourabi ». Cette « empreinte divine » se répandra dans le monde méditerranéen et européen occidental sous une forme polythéiste. Après l’hôpital byzantin, le modèle européen apparaîtra avec les croisades et les ordres religieux à Jérusalem.
L’invention de l’imprimerie ouvrira une nouvelle étape avec la création de l’Hôpital des « Pôvres » à Beaune en 1462 pour soigner les malades. Bien que la contre-réforme catholique qui suivit le schisme entre Luther et la Papauté eût tenté de revenir à sa primauté terrestre lors du Conseil de Trente, elle dut y renoncer sous la poussée scientifique. Ce furent alors les souverains François 1er avec Ambroise Paré, Louis XIII et Saint Vincent de Paul, Anne d’Autriche… des ordres religieux qui perpétuèrent dans l’ordre occidental cet esprit de Charité. Mais les guerres se poursuivant en Europe sur un fond religieux, les besoins militaires s’accrurent conduisant Louis XIV à créer en 1708 le Service de santé des Armées.
Avec le Code Napoléon, ce fut la Grande Armée tant pourvoyeuse de batailles et de victimes. Le 19e siècle fut un siècle charnière dominé par une volonté de développement de l’Hygiène sociale. L’action hospitalière s’est ensuite développée dans un esprit de dévotion et de protection sociale intéressant l’ensemble du public avec des sanatoriums, des aériums et les hôpitaux spécialisés. L’étape suivante est celle initiée en 1945 avec la Sécurité Sociale ouverte à l’ensemble de la population.
L’avenir dominé par la survenue inévitable de l’Intelligence Artificielle doit encore nécessiter un monde hospitalier apte à travailler dans un esprit de charité entre les deux espaces définis par Blaise Pascal dans ses Pensées entre le « ciron et l’infiniment grand »

Auteurs 

Praticien de la gestion administrative hospitalière, Daniel Moysan au terme d’une carrière au Service Santé des Armées (SSA) achevée avec les fonctions d’inspecteur, s’engagea à apporter l’expérience acquise dans les domaines de la vie hospitalière.
Élu Maire et président de communauté en 2008, réélu en 2014 dans sa terre natale de la presqu’île de Crozon, son objectif premier fut de la doter d’un hôpital. Daniel Moysan associait ainsi son expérience à celle de la mise à disposition d’un équipement médical et hospitalier adapté, « Population-Territoire ». Il engagea ainsi une réflexion sur le concept « Hôpital : pourquoi, par qui et comment ? » et décida de l’analyser depuis les temps anciens jusqu’à l’Intelligence Artificielle, l’ensemble intégrant les découvertes humaines favorisant l’évolution du concept.
Pour équilibrer les deux aspects de son histoire, l’institution physique, technique et les inventeurs, il proposa au Docteur Jacques Berlie de suivre les aspects médicaux de cette étude jusqu’à l’émergence de l’Intelligence Artificielle impactant certes l’hôpital, mais requérant toutefois un contrôle mondial. L’expérience de son ami de longue date ne pouvait mieux répondre à son attente: médecin familier de la recherche clinique, épidémiologiste, oncologie, statisticien et informaticien à la Section Cancer de l’INSERM puis au centre René Huguenin de Saint-Cloud devenu l’hôpital de l’Institut Curie.

Originalités

Le livre, très documenté, présente l’histoire tout à fait étonnante de « l’hôpital ». Écrit dans un style fluide, il peut se lire comme un roman ou être feuilleté à l’occasion pour y découvrir une nouvelle pépite.

Support

Une couverture rigide avec un dessin original, un papier de haute qualité, une impression premium inégalée réalisée par BOD**, un signet, tout concourt à faire de ce livre un « bel ouvrage ».

Un format discret et pratique qui permet de laisser le livre sur une table de salon pour être parcouru de temps en temps.

Édition

Le livre a été préparé avec le concours de Philippe GOUT, romancier ; il travaille avec la société BOD qui, grâce à une impression numérique, offre un rendu d’impression exceptionnel tout en respectant l’environnement (seuls les exemplaires qui seront lus sont imprimés).

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